Addiction aux jeux vidéo :Comment adopter la bonne réaction
De nos jours L'addiction aux jeux vidéo deviendra une chose très critique et surtout dangereuse !
On va Zoomer sur les signes de cette forme de dépendance, la prise en charge possible et les solutions de prévention !
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1)Public le plus sensible à l’addiction aux jeux vidéo:
En fait les jeunes sont essentiellement les victimes de ces jeux , ils sont plus exposés à l'addiction aux jeux vidéos plus que les adultes !
Toutefois, les cas relevant d’une addiction pathologique grave sont assez rares. Les risques de dépendance les plus importants concernent les jeux en réseaux et notamment les jeux de rôle multi-joueurs.
On considère qu’il y a addiction aux jeux vidéo lorsque le joueur se livre à ce type d’occupation de façon excessive, c’est-à-dire à partir d’une trentaine d’heures par semaine, bien plus que le temps consacré par les hardcore gamers - ou gros joueurs - à leur passion, à savoir entre 18 et 20 heures par semaine.
Le rôle des parents est très important ce qui concerne ce sujet ; car il y a beaucoup de signes qui doivent les alerter. Les symptômes d’addiction aux jeux vidéo étant généralement toujours les mêmes.
- D'abord on doit payer attention aux résultats scolaires subitement en baisse.
- Un désintérêt pour tout autre type d’activité mais aussi pour les relations sociales (amicales et familiales). Ils passent la plupart de leur temps enfermés dans leur chambre.
- En effet, la pratique des jeux vidéo dans le cadre d’une addiction occupe la majeure partie du temps, puisque le sujet est incapable de réduire le temps qu’il consacre aux jeux.
Tout cela aura un effet très négatif sur eux, ces jeunes déprivent eux-mêmes d'autres activités plus intéressantes ; comme le sport , le cinéma, la musique, les arts plastiques ou tout simplement les sorties entre copains.
Le jeune a tendance à s’isoler et ne souhaite plus sortir de chez lui. C'est dommage !
Comme parent , dès que tu constates des changements ou bien des modifications du comportement chez son enfant, il est important d’en rechercher l’origine. Celle-ci peut être totalement étrangère à la passion pour les jeux vidéo.
3)Dépendance aux jeux vidéo : les risques:
On peut constater des répercussions sur son sommeil car le joueur addict a tendance à jouer même la nuit, écourtant ainsi son temps de repos. Parfois, l’addiction peut également se répercuter sur l’équilibre alimentaire.
Une personne fragile qui présente une addiction aux jeux vidéo risque, en l’absence de prise en charge, de se retrouver tôt ou tard en état de souffrance psychique et de grande solitude. Il en résulte un mal-être évident. Dans de rares cas, un addict aux jeux vidéo peut devenir extrêmement triste ou agressif.
Si les parents ne prennent pas la parfaite décision dès le début ; afin de lui rompre avec son addiction malheureusement le jeune sera exposé peu à peu à l’échec scolaire et à une désocialisation. Il peut, à plus ou moins long terme, perdre l’estime de soi.
En plus que ça , l'addiction à ces jeux peut avoir des effets néfastes sur la santé mentale et physique du jeune joueur pathologique, mais elle reste encore peu courante.
C'est pour cela il faut réagir au plus vite afin limiter l’impact de cette dépendance. L’accroc aux jeux ne peut lui-même se limiter. En revanche, le contrôle du temps passé à jouer doit être effectué par les parents.
la communication est très importante dans ce cas avec votre enfant, au cours duquel les jeux vidéo doivent être abordés sans tabou.
C’est d’ailleurs une bonne solution pour s’intéresser à ce phénomène très actuel et montrer à son enfant que l’on partage son intérêt. Il faut surtout éviter les rapports de force.
Un jeu vidéo peut s’avérer positif s’il est parfaitement adapté à l’âge de l’enfant ou de l’adolescent, et que le temps qui lui est consacré est raisonnable. Sa pratique ne doit pas empiéter sur la vie familiale, la scolarité, le temps de sommeil et les loisirs. Il peut d’ailleurs s’agir d’une activité à partager en famille. Lorsque le jeune joue seul, il est souhaitable que l’espace réservé aux jeux vidéo soit situé dans les zones de l’habitation réservées à toute la famille. De cette façon, le jeune ne se retrouve pas isolé face à son écran et il est plus facile de limiter le temps passé à cette activité.
Si vous ne trouverez pas une solution facile avec votre enfant ; ça sera trop nécessaire qu'un psychologue le prend en charge spécialisé dans les pratiques addictologiques.
Cela est utile si le jeune est un joueur pathologique, ce qui est heureusement peu courant. D’ailleurs, les comportements addictifs sont bien plus fréquents chez les adultes que chez les jeunes.
Quoiqu’il en soit, lorsqu’on est en présence d’un cas extrême, mieux vaut opter pour l’orientation du jeune vers un spécialiste dans la problématique comportementale de l’adolescent et de l’enfant.
Le fait de prévenir l’addiction aux jeux vidéo passe par l’établissement de règles réelles mais non drastiques : il n’est pas question d’interdire l’accès aux jeux vidéo. Trente à soixante minutes par jour, selon l’âge de l’enfant ou de l’adolescent, est un temps de jeu tout à fait raisonnable et sans danger.
Avez-vous déjà vécu cette expérience auparavant ? Ou bien avez-vous fait face à un jeune qui est intoxiqué aux jeux vidéos ? Lisez cet article et partagez le avec vos proches qui peuvent avoir des difficultés avec leurs enfants !